Résumé
Lorsqu'un groupe de promoteurs décide de racheter le quartier des Goonies (les crétins) pour le démolir et construire un parcours de golf, ces derniers décident de se faire une dernière virée ensemble. Ils suivent une vieille carte au trésor qui les mène dans une série de cavernes souterraines construites au XVIIe siècle par un pirate légendaire nommé Willy-le-Borgne. Les Fratelli, famille de criminels recherchée par la police, sont aussi à la recherche du trésor.
Avis CinéSam (film vu le : 22/05/2025)
🎬 À l’occasion des 40 ans des « Goonies », le Kinépolis de Bruxelles proposait des séances spéciales « cultes ». En assistant à l’une d’entre elle, cela a ravivé la magie d’une époque où l’aventure se vivait à hauteur d’enfant. Réalisé par Richard Donner, sur un scénario de Chris Columbus et une histoire de Steven Spielberg, ce film de 1985 incarne l’essence même de la comédie d’aventure des années 80. Dès les premières minutes, on est plongé dans une quête trépidante menée par une bande de gamins attachants, déterminés à sauver leur quartier menacé par un promoteur sans scrupules.
🗺️ Le périple des Goonies, à la recherche du trésor du pirate Willy le Borgne, évoque irrésistiblement les péripéties d’Indiana Jones, les escapades de Peter Pan et les frissons des « Pirates des Caraïbes« . Chaque piège, chaque énigme, chaque recoin des souterrains est une invitation à l’émerveillement, renforcée par des décors soignés et une lumière qui oscille entre ombre et éclat, soulignant l’atmosphère mystérieuse de l’aventure.
🧑🤝🧑 La force du film réside aussi dans la complémentarité de ses personnages : Mikey, le leader asthmatique mais déterminé ; Data, l’inventeur ingénieux ; Choco, le gourmand au grand cœur ; Bagou, le traducteur espiègle ; Andy, dont les talents musicaux s’avèrent cruciaux ; et Steph, la voix de la raison. Chacun apporte sa pierre à l’édifice, même si les figures féminines auraient mérité un peu plus de profondeur, échappant davantage au cliché de la demoiselle en détresse.
🦸 Les clins d’œil cinématographiques parsèment le film, à commencer par le t-shirt Superman arboré fièrement par Sloth, en hommage au réalisateur Richard Donner, également aux commandes du célèbre film de 1978. On note aussi des références subtiles à « Gremlins », autre œuvre scénarisée par Columbus, renforçant le sentiment d’un univers partagé et cohérent.
🔊 Certes, les jeunes acteurs ont parfois tendance à crier, traduisant une énergie débordante qui peut, à l’occasion, frôler la cacophonie. Mais cette effervescence contribue aussi à l’authenticité de leurs interactions et à l’immersion dans leur monde. À noter également l’absence de tabagisme à l’écran, un choix appréciable, surtout dans un film destiné à un jeune public, même si un paquet de cigarettes est brièvement évoqué.
🎉 En sortant de la salle, le sentiment est clair : « Les Goonies » reste une œuvre intemporelle, capable de raviver l’âme d’enfant qui sommeille en chacun de nous. Un film qui, 40 ans après sa sortie, continue de faire rêver, rire et vibrer.
Sources consultées : (Wikipédia, triniradio.net, L’Ecran Pop Magazine)
Cet avis a été écrit avec l’aide de l’intelligence artificielle.
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