Résumé
Avant d'être Wonder Woman, elle s'appelait Diana, princesse des Amazones, entraînée pour être une guerrière impossible à conquérir. Elle est élevée sur une île isolée et paradisiaque, mais lorsqu'un pilote américain s'écrase sur leur rivage et annonce qu'un conflit à grande échelle fait rage dans le monde, Diana quitte son foyer, convaincue qu'elle doit arrêter cette menace. Combattant aux côtés de cet homme et des siens pour mettre fin à cette guerre et à toutes les guerres, Diana découvre ses vrais pouvoirs... Et son véritable destin.
Avis CinéSam (film vu le : 27/06/2017)
Énième adaptation des aventures de l’héroïne (après des films, OAV et séries TV en tous genres depuis les années 1970), ce long-métrage « mouture 2017 » place subtilement dans le contexte de la première guerre mondiale le personnage de Wonder Woman, attendue avec impatience depuis le décevant Batman vs Superman.
Les acteurs (et actrices !) américain(e)s pour la plupart, évoluent dans des décors superbes, de l’île paradisiaque des Amazones, Themyscira, au Londres poisseux des années ’20 dont émerge la révolution industrielle. Une grande partie de l’intrigue se déroule en Belgique, ce qui est assez surprenant mais totalement plausible puisque notre pays était une plaque tournante lors de la « Grande guerre ». Au cours de celle-ci, plusieurs scènes offrent du grand spectacle, de l’action et du combat de bonne facture. Des rebondissements assez inattendus interviennent aussi à des moments clés, les événements ne sont pas totalement prévisibles, ce qui est un excellent point.
L’humour est présent également ça et là, un peu comme dans les productions Marvel… DC étant leur concurrent direct, bien évidemment. Comme toute adaptation de comics, les effets spéciaux, plutôt réussis, sont aussi au rendez-vous. La durée du film, 2h20, passe relativement vite, sauf quand un besoin naturel se fait sentir…ce qui fut mon cas, j’ai dû m’absenter quelques minutes avant le dernier quart d’heure. Apparemment je n’ai pas trop raté vu qu’en revenant j’ai tout de suite compris et repris l’histoire en cours de route. La morale de fin, si on veut, est le « yin et le yang », c’est-à-dire que l’homme n’est ni bon ni mauvais, il est un peu les deux et l’un ne va pas sans l’autre.
A l’inverse des réalisations Marvel, il n’est pas nécessaire de rester jusqu’à la fin du générique… sauf si vous voulez lire qu’une dans l’équipe du film, un collaborateur s’appelle Steve Rogers, l’identité civile de Captain America, issu de la concurrence Marvel… et aussi qu’aucun produit du tabac n’a sponsorisé le film, d’ailleurs on n’en voit absolument aucune trace durant toute la projection, ce qui est plutôt appréciable !
Deux petites anecdotes pour terminer : à aucun moment dans le film le nom « Wonder Woman » n’est cité, et il est peut-être possible de rencontrer Diana travaillant à Paris, au Louvre…
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