Résumé
Suite des aventures de Diana Prince, alias Wonder Woman, Amazone devenue une super-héroïne dans notre monde. Après la Première guerre mondiale, direction les années 80 ! Cette fois, Wonder Woman doit affronter deux nouveaux ennemis, particulièrement redoutables : Max Lord et Cheetah.
Avis CinéSam (film vu le : 02/04/2021)
Au moment d’écrire ces lignes, « Wonder Woman 1984 » (ou « WW84 » en abrégé) aurait dû sortir dans les salles à la fin 2020, et est disponible en streaming depuis quelques temps déjà. La sortie en DVD et Blu-Ray est imminente.
Pour célébrer en beauté la fin du mois de la femme (8 mars = journée internationale du droit des femmes…), je me suis dit que cette réalisation de Patty Jenkins (la même que Wonder Woman de 2017) ferait parfaitement l’affaire.
Visuellement c’est très joli, l’esthétique est très belle, bien mis en scène, cadré proprement.
Comme je l’ai déjà écrit dans la critique de Wonder Woman (2017), Themyscira est une île de rêve ! On n’y reste seulement pour quelques minutes d’introduction malheureusement, puis un écran titre très court fait office de transition vers le XXème siècle.
1984. Les cinéphiles y verront probablement une allusion orwellienne, je ne sais pas si c’est voulu ou non… En tout cas j’ai l’impression qu’une scène se déroule dans le même centre commercial que celui dans la série « Stranger Things » (Netflix), série surfant aussi sur la vague des années 1980.
Le film est avant tout composé d’action, d’un peu d’humour aussi parfois, très léger.
Le côté mythologique m’a semblé un peu plus obscur, pas beaucoup développé… probablement le sera-t-il davantage dans d’autres productions DCEU.
Par contre le fantastique est fort présent bien sûr, parfois même un peu trop tiré par les cheveux, ou… par le lasso ! Certains aspects m’ont fait dire « là c’est un peu too much quand même… »
Deux scènes, dont l’une est la suite de l’autre, traitent du harcèlement sexuel des femmes, ce qui est plutôt une bonne chose, d’autant que les scènes servent à l’intrigue.
Les actrices Gal Gadot, Kristen Wiig et d’autres sont OK, elles font le taf sans grandiloquence. Chris Pine est relégué au second rôle masculine, détrôné par Pedro Pascal, le « grand méchant », mais pas le seul ! Enfin, les fans apprécieront le caméo à la fin durant le « mid-credits ».
Une attention particulière a été portée aux musiques j’ai l’impression, car j’y ai prêté attention et je les ai trouvées tantôt classes, tantôt entraînantes.
L’ensemble est bien rythmé, l’intrigue reste classique toutefois, aucune grande surprise ou revirement de situation n’est à prévoir.
WW 84 est donc un divertissement passable, du grand spectacle que je regrette de ne pas avoir pu visionner sur toile dans une salle de cinéma.
La morale de fin que j’en retiens est : « la vérité suffit ». À méditer… car oui l’univers DCEU peut aussi amener à faire réfléchir en plus de divertir !
Une dernière chose concernant les produits du tabac : une phrase indique clairement à la fin que la production n’a rien reçu de l’industrie du tabac, et d’ailleurs je ne me rappelle pas avoir vu aucun personnage fumer, comme quoi c’est possible !
Autre avis
L’avis de Steve (RE-VU, Dimanche Navet)
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