Empire of Light

Film. Une illusion de vie.

20221 h 53 min
Résumé

Angleterre, 1980. Hilary travaille dans un cinéma : un lieu tout indiqué qui lui permet d'être en contact avec des gens et de rompre la solitude. Cette femme d'âge mûr est chargée d'apprendre les rudiments du métier à Stephen, un jeune homme noir charismatique. Bien que tout semble les séparer, une solide complicité et même une relation amoureuse se dessinent entre les deux employés.

Métadonnées
Titre Empire of Light
Titre original Empire of Light
Réalisateur Sam Mendes
Durée 1 h 53 min
Date de sortie 9 décembre 2022
Pays  Royaume-Uni
Budget 0
Recettes $5 251 349
Site officiel
Détails
Média
Statut Disponible
Note Très bon
Images
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Acteurs
Avec : Olivia Colman, Micheal Ward, Toby Jones, Colin Firth, Tom Brooke, Tanya Moodie, Hannah Onslow, Crystal Clarke, Monica Dolan, Ron Cook, Sara Stewart, Justin Edwards, Roman Hayeck-Green, Brian Fletcher, Dougie Boyall, William Chubb, Spike Leighton, Jacob Avery, Jamie Whitlow, Dylan Blore, Adrian McLoughlin, D.J. Bailey, Tom Colley, Mark Goldthorp, Rod Arthur, Mark Field, Tim Samuels, Dawn Murphy, Ashleigh Reynolds, George Whitehead, Sam Boskovic, Mark Collier, Caroline Glass, Eliza Glock, George Greenland

Avis CinéSam (film vu le : 02/04/2023)

Empire of Light est une histoire dramatique d’amour-amitié, se déroulant dans et autour d’un cinéma indépendant sur la côte sud de l’Angleterre début des années 1980.
Lorsqu’un film parle du cinéma, cette muse en abyme me fait systématiquement penser à Cinéma Paradiso ou plus récemment Babylon ou The Fabelmans (ce ne sont pas les seuls qui existent bien sûr).

La mise en scène est magnifiquement exécutée, avec des beaux plans et décors, ainsi qu’une lumière très travaillée qui m’a beaucoup plu. Le cinéma Empire est un lieu où j’irais volontiers !

Le casting est au top, Olivia Coleman et Micheal Ward en tête, secondés par des comédien.ne.s moins connus ou très connus (Colin Firth, Toby Jones).

Des thèmes sous-jacents comme le racisme et les événements de révolte de l’ère Thatcher sont aussi mis en avant.

La musique vient sublimer l’image, en appuyant l’ambiance, soit douce et romantique, soit calme et posée, soit plus angoissante.

Du tabagisme est relativement présent mais sans abus, c’est assez équilibré et en accord avec la période temporelle. J’ai bien aimé une réflexion pertinente par le projectionniste (Toby Jones) sur le fait d’interdire de fumer dans la salle de ciné…

J’ai eu un sentiment de mélancolie et nostalgie au final, et le message final me semble être celui de la renaissance, aussi bien du cinéma que de l’être humain qui traverse des épreuves.

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Critiques en ligne

Bande-annonce et lien Plex

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